La colère est passée et c’est business as usual, dit-on à Paris. Et pour cause, le président algérien Abdelmajid Tebboune a ordonné à son ambassadeur Saïd Moussi de retourner à son poste à Paris, et ce après « un rappel pour consultation » qui a duré quelques semaines (depuis le début février), suite à l’incident de l’opposante franco-algérienne Amira Bouraoui.
L’ambassadeur Moussi doit, sans nul doute, s’atteler à préparer rapidement “la visite d’Etat de Tebboune” en France, prévue en principe au mois de mai.
Le calendrier sera-t-il respecté? Et la conjoncture politique interne française avec la crise sociale et les grèves ? Difficile à dire…