Le comédien se confie au quotidien Français, ‘Le Parisien’, à l’occasion de la sortie du film « Pourquoi j’ai pas mangé mon père ».
Percuté par un train à l’âge de 15 ans, Jamel Debbouze a perdu l’usage de son bras droit. Un drame qui a construit le comédien. « Mon accident a décuplé mes forces », confie Jamel au Parisien.
« Tout sort plus vite et plus fort. Résultat, je n’ai pas accepté les cases dans lesquelles on me mettait: arabe, petit, handicapé, moche… Moi, je me vois beau, sur un cheval blanc. Il ne faut pas voir son sort comme une fatalité. Quand t’as aucune chance, saisis-la! », Ajoute-t-il.
À cause de son handicap, il a connu l’exclusion. Un thème qu’il a voulu intégrer dans son film. « Moi, ce que j’aime dans ce film c’est que j’y retrouve tous les thèmes qui m’ont touché profondément. L’exclusion, la différence, l’amour, l’amitié évidemment et puis, effectivement, le pouvoir… », explique le réalisateur à GQ, avant d’assurer que la célébrité ne l’a pas changé.
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