Le bureau central d’investigations judiciaires, relevant de la DGST, détient désormais, des compétences dépassant celles de la brigade nationale de police judiciaire (BNPJ). Il est chargé des missions de poursuite des recherchés au niveau international et des réseaux internationaux de trafic de stupéfiants. Il traite, en outre, des dossiers qualifiés de sensibles, tels que le trafic d’armes, la traite des humains, et la falsification des billets de banque.
Selon le journal Almassae, le BCIJ, bras judiciaire de la DGST, a déchargé la BNPJ de nombre de ses compétences, tels que les grands dossiers de lutte contre le terrorisme et Daesh, les crimes atteignant à la sécurité intérieur et extérieur de l’état, et la criminalité intercontinentale.
La BNPJ, ajoute le quotidien, a cependant gardé maintes attributions, dont les plus importantes sont les dossiers de corruption et de dilapidation des fonds publics et le traitement des plaintes diligentées par la cour des comptes.
Par ailleurs, la BNPJ intervient dans les affaires liées au trafic de stupéfiants et mène les enquêtes concernant les sécuritaires suspectés dans certaines affaires
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