La Japonaise Misao Okawa a fêté jeudi son anniversaire à Osaka, dans un archipel connu pour la longévité de ses habitants.
La doyenne de l’humanité, la Japonaise Misao Okawa, a soufflé jeudi à Osaka ses 117 bougies, dans un archipel connu pour la longévité de ses habitants. Cette coquette petite dame, née le 5 mars 1898 et issue d’une lignée de marchands de kimonos de la ville, a célébré son anniversaire avec un jour d’avance, posant pour les photographes vêtue d’un ravissant kimono rose, une fleur de la même couleur ornant sa blanche chevelure.
« Joyeux anniversaire ! »
Mère de trois enfants, grand-mère de quatre et arrière-grand-mère de six, elle était entourée de sa famille, notamment de son fils aîné, âgé de 92 ans, et d’un dernier petit rejeton de deux ans. Elle a également reçu les honneurs de la municipalité : le maire de l’arrondissement, Takehiro Ogura, est passé pour l’occasion lui remettre un bouquet de fleurs assorti à sa tenue. « Joyeux anniversaire ! », lui a-t-il soufflé à l’oreille. Et cette question : ces 117 années « ont-elles été longues ? ». « Non, c’est passé vite », a répondu Misao Okawa qui affiche une « bonne forme » malgré son âge avancé, selon un employé de la maison de retraite d’Osaka où elle vit. Interrogée sur le secret d’une telle longévité, elle a avoué… « ne pas savoir ».
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