Après l’Espagne, c’est la France qui s’inquiète et dévoile le phénomène des « orphelins de rue » marocains et pas algériens ou tunisiens comme on aurait pu l’imaginer. Comment ces mineurs marocains sont-ils arrivés là-bas et par quels moyens?
Et surtout la question qui se pose: pourquoi ces mineurs sont-ils partis à l’aventure pour se retrouver dans les rues de Paris à mendier? Ces mineurs “mendiants” ont abandonné leurs familles et amis à la recherche d’une « vie meilleure » tournant le dos au “plus beau pays du Monde”, selon la formule consacrée de l’Office Marocain du Tourisme. Le comble il ont préféré laisser derrière eux le riche pays de “milliers de millionnaires” et même de quelques milliardaires en dollars américains, messieurs!
Bref, lisons ce qu’a rapporté le journal français Le Parisien le 7 décembre sur ce phénomène qui a provoqué l’indignation et la pitié de citoyens français:
Extrait:
Devant l’afflux de mineurs marocains en errance dans les rues de la Goutte d’or (XVIIIe), la ville débloque un dispositif exceptionnel chiffré à près de 700 000 d’euros.
Une réponse judiciaire difficile
« Des orphelins des rues, on n’avait pas vu ça à Paris depuis la Seconde Guerre mondiale », assure Valérie Goetz, la commissaire principale du XVIIIe. « Au début, ils se contentaient de menus larcins mais maintenant, ils sont passés aux vols à la tire, aux arrachages de colliers, aux cambriolages. Ici, mais également dans les départements de petite couronne. Et ils commencent à se mélanger avec les délinquants plus âgés, les trafiquants de cigarettes de contrebande. »
Que faire face à ces très jeunes gens, dépourvus de papiers, qui mentent le plus souvent sur leur âge et leur identité ? « Au-delà de 13 ans, lorsqu’ils sont pris en flagrant délit ils sont placés en garde à vue », souligne-t-on au parquet des mineurs, « mais même lorsqu’un placement suit, ils retournent systématiquement à la rue. Ils ont une grande capacité de résistance. Et, en l’absence de parents, le suivi judiciaire et éducatif est extrêmement compliqué. Tous les jours, une dizaine d’entre eux sont interpellés… Et des ordonnances de placement provisoire sont signées quotidiennement ».
merci on vois que vous etes un algerien nous ont ne pleurs pas pour les visa
excusez moi mais il ya des milliers d algeriens qui ce fonts arreter en espagne il faut bien lire la presse alors aucune lecon a recevoire nous avons 20 ans d avance sur nos freres algerien