La scène du Bouregreg, dédiée aux sonorités et rythmes africains dans le cadre de la 14ème édition du Festival Mawazine, prévue du 29 mai au 6 juin à Rabat, réserve des soirées festives mettant à l’honneur la musique africaine, entre autres.
Le vendredi 29 mai, le programme sera inauguré avec la formation française Temenik Electic. Il s’agit de 5 artistes musiciens qui font du «Arabian Rock», un mélange de son pop électro et de sonorités orientales.
La soirée suivante sera 100% latine, présentée par le chanteur colombien Yuri Buenaventura. Ayant participé à de nombreuses éditions du festival Mawazine, l’artiste est désormais un habitué du Maroc.
Le Sénégal sera ensuite à l’honneur, le lundi 1er juin, avec la formation Daara J Family. Créé en 1992 par Faada Freddy et N’Dongo D, le duo Daara J Family porte sa culture empreinte des influences africaines, du hip hop et de la soul aux quatre coins de la planète.
Les albums du duo connaîtront un véritable succès populaire. Le duo allie un reggae travaillé, des mélanges de funk, aux ballades et mélodies hypnotiques. La musique festive de Daara J La sixième soirée accueillera l’artiste français Yannick Noah. Ex vainqueur de Roland Garros, Yannick Noah connaît un incroyable destin. Devenir une star de la chanson après avoir été l’un des plus grands sportifs tricolores…
Jeudi 4 juin, la musique malienne sera célébrée par ses plus grands Ambassadeurs : Salif Keita, Cheikh Tidiane et Amadou Bagayoko (Amadou & Mariam). Le groupe, composé de ses 3 grands artistes, offrira un groove lancinant orchestré par la basse, percussions et cuivres aux consonances afro-cubaines et solos d’une rare intensité, le tout magnifié par la voix mélodieuse de Salif Keita.
L’avant dernier concert sera animé par l’artiste marocain Aziz Sahmaoui et la chanteuse malienne Mamani Keita. Le premier, né au Maroc est un chanteur et multi-instrumentiste passioné de musique Gnaoua. Quant à Mamani Keita, elle chante en bambara en apportant à la musique malienne des sonorités multiples (electro, jazz, etc.)
Et en clôture, la 14ème édition du Festival-Mawazine Rythmes du Monde réserve au public de la scène Bouregreg une soirée brésilienne avec le groupe Metá Metá. En yoruba, Metá Metá signifie «trois en même temps».
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