SexScandal – Iphone-Taser, violences et viol, le procès médiatisé d’un Marocain s’ouvre mardi à Rennes

Un jeune Marocain impliqué dans une affaire de viol avec violence qui sera examinée par la justice mardi 17 octobre à Rennes. Les faits remontent au 17 octobre 2014, soit deux ans, jour pour jour, après qu’une jeune femme de 23 ans (26 ans aujourd’hui) a été admise aux urgences pour de multiples traces de brûlures et de coups.

+ L’ex petit ami serait le violeur +

Selon le site Breizh-Info, la personne qui dépose la victime aux urgences est « un Marocain, alors âgé de 24 ans ». Cet ex petit-ami serait l’auteur des violences et des brûlures qu’il aurait infligées à son ex compagne à l’aide d’un smartphone transformé en Taser, ajoute la même source.

Selon le témoignage de la victime, son ex petit ami l’aurait paralysée grâce à son smartphone Taser puis l’aurait séquestrée à son domicile avant de la frapper puis, comble de l’horreur, de la violer, ajoute le site.

Le suspect reconnaîtrait les violences infligées à son ex petite amie mais nierait les accusations de viol portées à son encontre. Il ne nie pas pour autant qu’il y ait eu un rapport sexuel. Reste donc à éclaircir la question du consentement.

Ce couple de musulmans aurait été éphémère puisque les deux ex compagnons se seraient mis ensemble quelques mois seulement avant le drame.

+ Un Iphone-Taser intriguant +

Outre le drame vécu par la victime, l’arme utilisée par le Marocain de 24 ans avait beaucoup interrogé à l’époque de la commission des faits. Camouflé dans un faux iPhone, ce Taser permettait d’infliger de fortes décharges électriques à un tiers.

Appareils censés assurer la défense de leur acheteur, ceux émettant une décharge électrique à distance sont considérés comme des armes de catégorie B et donc interdites à la vente au grand public.

Ceux qui émettent des décharges électrique en touchant sont eux autorisés dans les cas de légitime défense.

Il semblerait que l’appareil utilisé par l’agresseur présumé appartienne à la deuxième catégorie et que sa détention n’est donc pas illégale. Mais son utilisation en l’espèce et – pire – les actes commis par la suite sont eux très sévèrement punissables, rappelle la même source.

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