Un premier jet est rendu public. Dans sa note de cadrage relative au projet de loi de finances 2018, le gouvernement table sur un taux de croissance de 3,2%, selon L’Économiste.
« L’année prochaine, le PIB non agricole devrait croître de 3,6% contre 2,9% attendu en 2017 et ce, sous l’effet de l’accélération des réformes structurelle et des différentes stratégies sectorielles, » a précisé L’Économiste.
En fait, le Maroc n’est sorti du modèle macroéconomique classique suivi depuis plusieurs années déjà.
La note de cadrage s’attend à ce que, le déficit budgétaire devrait baisser à 3% alors que la dette devrait être limitée à 60% du PIB. « Le chef du gouvernement demande à ses ministres de se plier à la discipline budgétaire, » ajoute la même source.