Un nouveau “scandale sexuel” éclate au cœur de la deuxième chaîne de la télévision nationale 2M. Une journaliste stagiaire a accusé le directeur de 2M, Salim Cheikh, de l’avoir sexuellement harcelé en prétendant avoir les preuves nécessaires pour étayer sa plainte.
Sur sa page Facebook, la plaignante a partagé des messages où elle menace le directeur de la chaîne de dénoncer ses agissements de harcèlement dont souffrent plusieurs autres stagiaires.
“Je vais rassembler toutes les filles victimes de ces harcèlements sexuels et ça va devenir une affaire d’opinion publique” a rédigé Sanae sur un message adressé à Cheikh et dont la photo a été publiée sur le journal arabophone Assabah.
Pour Sanae, l’affaire aurait pris un autre courant si ça s’est passé ailleurs. Au Maroc, il suffit d’être un responsable pour éviter d’être poursuivi en justice “surtout lorsque la victime est une femme” dit – elle d’après le site arabophone Goud.
En février 2014, un député du Parti de la Justice et du Développement a dévoilé au parlement, avoir reçu une lettre dans laquelle des stagiaires accusaient un responsable des ressources humaines de 2M d’extorsion.
[…] casos. La respuesta positiva de las autoridades fue un elemento clave. En Marruecos, sin embargo, una periodista denunció al director del canal público 2M (en febrero de 2017) y fue insultada y amenazada en las redes sociales. Y su denuncia no tuvo […]