Après Mahjouba, une autre fille, Darya, séquestrée dans les camps de Tindouf 

 

Après l’affaire de la jeune Mahjouba Mohamed Hamdidaf, qui a déclenché une grande mobilisation internationale un autre cas vient d’éclater dans les camps de la honte à Tindouf, sur le territoire algérien, éclaboussant la junte de Rabouni et mettant à nu les allégations des associations qui prétendent défendre les droits de l’homme, surtout en Espagne.

Il s’agit de la jeune Darya Embarek Selma, âgée à peine de 25 ans, et retenue contre son grès depuis près d’une année par sa famille biologique qui lui interdit, avec la complicité de la direction du « polisario », de revenir à l’île canarienne de Tenerife, où elle vivait avec ses parents adoptifs et suivait ses études universitaires.

 

En dépit des tentatives du soi-disant représentant des séparatistes dans l’archipel canarien, le dénommé Hamdi Mansour, d’occulter cette affaire de peur de déclencher une mobilisation à l’instar de celle qu’avait suscitée l’affaire de la jeune Mahjouba, certains milieux politiques dans l’archipel ont commencé à bouger et à soulever ce cas, qui reflète au monde la situation dramatique que vit la population dans les camps de Tindouf, dans le sud de l’Algérie.

Article19.ma/MAP