En bref, le « méchant » dans cette surmédiatisée «soap opera » serait l’euro-député italien Pier Antonio Panzeri. Ce vieux lobbyiste italien, qui pour échapper (à son âge) à une lourde peine de prison, aurait affirmé devant des enquêteurs, selon RFI, « avoir reçu au total au moins 2,6 millions d’euros en cash, essentiellement du Qatar… ».
In fine : « À qui profite le crime ? », se demande-t-on. Deux pays apparaissent en filigrane : la Belgique et l’Algérie… Pourquoi et comment? La chaîne française ne le dit pas et préfère chercher ailleurs… (Affaire à suivre…).