Appel . La levée de boucliers contre la Fondation Joud, proche du RNI, ne faiblit pas. Après le secrétaire général du PAM, Abdellatif Ouahbi, et le PJD, c’est autour du PPS de dénoncer l’instrumentalisation des actions caritatives de cette association à des fins partisanes et électoralistes.
« La mainmise de l’argent sur la politique est dangereuse pour toutes les démocraties et cela ne doit pas être acceptée », a averti le secrétaire général du PPS, Nabil Benabdellah.
Il vient ainsi de joindre sa voix à celles de plusieurs personnalités politiques pour dénoncer l’instrumentalisation du phénomène de la pauvreté par certains afin de servir des desseins de politiques de partis telque le Rassemblement national des indépendants (RNI), et ce à quelques mois des élections communales, régionales et législatives.
«Imaginez la somme de 200 millions de Dirhams est dépensée d’un seul coup et pendant un seul mois », alors que la loi fixe à 500.000 DH le seuil des dépenses d’un candidat aux élections législatives », s’est-il indigné, avant de s’interroger : «où est l’égalité des chances » devant ces dépenses colossales ?
Le leader du parti du Livre ne laisse pas passer cette occasion sans donner des conseils de morale politique au RNI : « Si vous voulez remporter les élections et que les Marocains vous fassent confiance, vous devez le mériter avec le militantisme, des positions de principe, des programmes et non pas avec l’argent », a-t-il déclaré.
Le leader du PPS a aussi attiré l’attention sur le risque et l’incompatibilité du « politique et de l’argent », dans une allusion au pouvoirs dont jouit le milliardaire Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et chef du RNI.
Pour rappel, la semaine dernière, dans un communiqué, le PPS avait dénoncé « vigoureusement » le recours par le RNI « à l’instrumentalisation politicienne du principe noble de la solidarité, à travers la mobilisation de capacités énormes et d’un grand nombre de « paniers de Ramadan », sur de vastes zones géographiques et à la veille des échéances électorales ».
Ce Monsieur; quant il était aux affaires comme on dit , il tenait un langage vide de sens, mais beaucoup de discours faux , sans résultat .Éjecté le voilà qui s’efforce, dans l’espoir de frayer un chemin qui le conduirait de nouveau au fauteuil des ministrables.Mais cette fois, je pense, que c’est impossible , vu la médiocrité de sa mentalité et de sa politique surannée
Fes grande de par son histoire , de par sa richesse culturelle , elle ne mérite pas une telle médiocrité comme maire , une médiocrité telle, considéré comme insulte à l’Image de Fes , la Médiocrité dans sa splendeur qui caractérise cette homme , et ce , sur tous les plans , culturel , sur le plan moral , et sur le plan gestionnaire ,, la Ville de Fes elle mérite mieux quant même