Xénophobie. La chaîne de télévision française en continu BFMTV a été obligée de présenter ses excuses aux téléspectateurs pour l’écart de langage de l’un de ses éditorialistes, lors de la retransmission de l’hommage national rendu par la Chine aux victimes du coronavirus.
« Ils enterrent des Pokémons », avait-on pu entendre une voix murmurer, ce samedi matin, sur l’antenne de la chaîne, pendant une séquence live tout en images, montrant le recueillement des dirigeants chinois et la journée de deuil national organisée dans toute la Chine en mémoire des compatriotes décédés du Covid-19, a rapporté le nouvelobs.com.
https://twitter.com/anaelgr/status/1246343871715573761?s=20
Emmanuel Lechypre, éditorialiste de BFMTV et BFM Business a ensuite présenté son mea culpa pour avoir tenu ces propos scandaleux qui ont suscité des milliers de réactions sur les réseaux sociaux.
« Ce matin pendant la diffusion de l’hommage aux victimes en Chine, je me suis permis une expression totalement déplacée, pensant que les micros étaient fermés. C’était totalement inapproprié, j’en suis vraiment désolé et je renouvelle mes excuses », a-t-il notamment déclaré sur la chaîne d’info, selon la même source.
La direction de la chaîne également présenté des excuses « suite à l’involontaire diffusion de propos totalement déplacés en plateau ce matin ».
Ce matin sur BFM TV je me suis permis une remarque totalement déplacée pendant la diffusion d’un hommage aux victimes du virus en Chine. Ces propos inappropriés ont été diffusés à l’antenne alors que je pensais les micros fermés. Je tiens sincèrement à m’en excuser.
— Emmanuel Lechypre (@Manu_Lechypre) April 4, 2020
Ct facile de dire des connerie et demander des excuses après .la chaîne bfm est spécialisée dans la matière (haine et desrimination raciale) .
Chaque jours ces personnes suffisantes et prétendument intelligentes et moralisatrice prouvent leurs stupidités er leurs bêtises…
Je rejoins l’avis de soussou,
Et on constate le laxisme de la chaîne qui n’a pris aucune disposition disciplinaire pour la xénophobie de son éditorialiste, dont les propos prouve largement son antisémitisme