« Escalade de la violence à Paris » (Die Welt), « La manifestation des “gilets jaunes” sème le chaos à Paris » (El Pais), « “Gilets jaunes”, l’heure de la violence : Paris brûle entre agressions et pillages » (Corriere della Sera), « L’une des manifestations antigouvernementales les plus violentes à frapper Paris depuis des décennies » (The Wall Street Journal).
La presse internationale décrivait avec des titres percutants, samedi 1er décembre, les affrontements survenus dans la journée dans la capitale française, en marge des défilés.
Des incidents qui ont fait au moins 133 blessés, ont conduit à plus de 400 interpellations, selon un bilan de la préfecture de police de Paris, ont été fermement condamnés depuis Buenos Aires par le président de la République, Emmanuel Macron, et ont conduit le premier ministre, Edouard Philippe, à annuler un déplacement en Pologne.
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Les mots « gilets jaunes » – yellow vests (en anglais), gelbwesten (allemand), gilet gialli (italien), chalecos amarillos (espagnol), etc. – s’affichaient en « une » de nombreux sites étrangers, tout comme les images de destructions, d’échauffourées ou de voitures enflammées.