Les cours, en baisse de plus de 30% en 2015 et de près de 20% supplémentaires depuis le début de l’année, ont tenté un rebond en début de séance, mais ils ont vite replongé à New York comme à Londres, où le baril de Brent s’échange aussi à peine plus de 30 dollars.
« Le marché reste sous pression, à cause des implications du retour imminent de l’Iran » avec la levée imminente de sanctions contre Téhéran, « et du fait que l’on n’attend aucune mesure de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) », a résumé Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
Dominée par l’Arabie saoudite, suivie par les autres monarchies du Golfe, l’Opep avait donné fin 2015 un coup au marché en s’abstenant de se fixer des objectifs chiffrés de production.
Article19.ma/Agences